Balasar


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Un drakéide guerrier dueliste - niveau 4.

Feuille de personnage: https://www.dndbeyond.com/characters/79951249/8yWRI1.

Cette page est encore un brouillon de la back-story de Balasar.

Balasar est un drakéide originaire de la région de Ridania, province des terres de Syndria. Venant d'un milieu pauvre, le petit obtient très vite le surnom de Vives-Dents pour son caractère enflammé et ses réflexes inégalés. L'enfant était prompt à se battre et suffisamment doué pour perdre peu. Il se fit vite remarquer par un milicien, dont il s'attira la sympathie et progressivement l'amitié. Cette homme lui appris les arts martiaux, les tactiques militaires mais également lui donna des connaissances en histoire. Pour lui, un bon guerrier n'était pas seulement un tas de muscle mais aussi une tête bien faite.

Parallèlement à son entrainement, Balasar se lia avec un groupe de petits malfrats de son quartier. Ils ne tardèrent pas à utiliser la force et les compétences du jeune drakéide dans leurs trafics. Balasar se spécialisait dans la contrebande. Personne ne se risquait à voler un gaillard pareil et quiconque tentait de l'arrêter était bon pour une correction mémorable.

Balasar entretint ses deux vies. Le milicien montant dans la hiérarchie, il incorpora le dragon parmi les cadets. Dragon qui continuait d'aider ses amis de pauvreté en prenant part à leurs diverses actions de contrebande et convoi d'objets volés. De cadet, il devint un milicien reconnu pour sa force et son intelligence. Il aurait pu faire carrière, si un malheureux accident n'avait couté la vie à l'un de sa cohorte. Durant une patrouille, son équipe prit la bande de malfrats en plein vol de la propriété d'un riche commerçant. Reconnu par ses compagnons, le dragon hésita à tirer son épée face à ses amis. Ceux-ci se défendirent face aux miliciens, tuèrent l'un des patrouilleurs et blessèrent gravement le second. De retour à la caserne, celui-ci rapporta l'hésitation de Balasar qui avait couté la vie et la santé de ses camarades. Il fut immédiatement mis à pieds et chassé.

Il aurait pu rejoindre ses amis malfaiteurs mais la honte l'oppressait. Son ami milicien l'avait renié, lui partageant à quel point il se sentait trahi par ses mensonges et omissions. Celui-ci décida de partir loin de tout, pour essayer d'oublier et de se racheter une conscience, peut-être par quelques faits d'arme mémorables.